Océan
De la vie, dans lequel nous sommes plongés
12 octobre 2025
Le scaphandrier qui descend travailler au fond de la mer a besoin d'une quantité d'oxygène suffisante pour faire un séjour prolongé sous l'eau et, pour être en sécurité, il est relié à des amis en haut qui l'alimentent et sont prêts aussi à le retirer au moindre danger. Ce n'est qu'à cette condition qu'il peut travailler.
Exactement comme les scaphandriers, nous sommes plongés dans un océan appelé le monde. Cet océan est rempli d'écueils et de monstres qui veulent parfois nous dévorer. Nous devons donc, pour résister, nous alimenter en oxygène, installer des tuyaux par où l'air viendra jusqu'à nous, c'est-à-dire nous mettre en contact avec le monde divin et rester liés à lui. Pour établir ce contact, il faut méditer, prier, car ce sont des activités qui créent le tuyau d'air, la corde d'appel. Ceux qui disent : « J'en ai assez de prier, de méditer, c'est toujours la même chose, un peu de changement me ferait du bien », ceux-là finiront par se perdre dans l'océan de la vie.*
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Exactement comme les scaphandriers, nous sommes plongés dans un océan appelé le monde. Cet océan est rempli d'écueils et de monstres qui veulent parfois nous dévorer. Nous devons donc, pour résister, nous alimenter en oxygène, installer des tuyaux par où l'air viendra jusqu'à nous, c'est-à-dire nous mettre en contact avec le monde divin et rester liés à lui. Pour établir ce contact, il faut méditer, prier, car ce sont des activités qui créent le tuyau d'air, la corde d'appel. Ceux qui disent : « J'en ai assez de prier, de méditer, c'est toujours la même chose, un peu de changement me ferait du bien », ceux-là finiront par se perdre dans l'océan de la vie.*
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