Le bien et le mal

Notre appréciation sur eux dépend de notre capacité à en tirer parti

11 avril 2014
Il est difficile de se prononcer de façon catégorique sur le bien comme sur le mal. Pourquoi ? Parce que sur la terre, rien n’est tout à fait bon ni tout à fait mauvais ; même les meilleures choses s’accompagnent de quelques inconvénients. Comment ne pas se réjouir de l’arrivée du printemps ? Avec la lumière et la chaleur tout s’épanouit, c’est merveilleux. Oui, mais les bestioles nuisibles aussi s’épanouissent : les guêpes, les mouches, les chenilles, les pucerons, les moustiques… Et le progrès technique, est-il un bien ou un mal ? Combien de découvertes qui avaient commencé par apporter d’immenses améliorations dans la vie des humains ont fini par produire des catastrophes parce qu’ils n’ont pas su se montrer prudents, clairvoyants et réfléchir aux conséquences ! Il n’est pas nécessaire de multiplier les exemples, vous pouvez tous les jours faire cette constatation. Donc, quels que soient les événements ou les conditions, il y a toujours des précautions à prendre. Les meilleures choses deviennent mauvaises pour les ignorants parce qu’ils ne sont pas prêts à y faire face. Tandis que ceux qui réfléchissent et ont appris comment travailler, arrivent à tirer parti même des plus grandes difficultés.