La souffrance a pour fonction de nous donner des avertissements

17 décembre 2017
L’être humain est habité par une multitude d’entités que l’Intelligence cosmique a chargées de veiller à son développement. Et si par sa négligence ou sa mauvaise volonté il est en train de démolir quelque chose dans son intellect, son cœur ou son corps physique, certaines de ces entités commencent à le piquer, à le mordre, pour le faire revenir sur le bon chemin. Ce sont ces rappels à l’ordre auxquels l’homme a donné le nom de souffrance, et comme souffrir est désagréable, il voit en elle une ennemie ; mais il se trompe ! Puisque la souffrance lui donne des avertissements, c’est qu’elle est pour lui comme une associée : elle ne vient que pour lui montrer qu’il est sorti des bonnes conditions où le chemin était clair et dégagé devant lui. Il doit donc non seulement chercher à comprendre son langage mais la remercier en disant : « Que Dieu te bénisse, tu m’as éclairé, je vais réparer mes erreurs. » Et du moment où il a compris et qu’il décide de se corriger, la souffrance a l’ordre de le quitter, car elle a fait son travail, elle a rempli sa mission.