Le corps de gloire, corps de la résurrection

La véritable résurrection n'est pas sur le plan physique

"L'apparition du Christ à Marie de Magdala après la résurrection" - Alexander Ivanov (1835)
(cliquer pour zoomer)

« Le corps bouddhique est le corps de l’amour désintéressé, de la béatitude absolue, de la pureté absolue. Le Christ, Bouddha, ont été des exemples parfaits de l’amour, du sacrifice, de la pureté. C’est pourquoi le disciple instruit dans cette science doit chercher à avoir les sentiments et les désirs les plus désintéressés, les plus purs pour pouvoir nourrir son corps éthérique et son corps bouddhique. Avec le travail désintéressé, le sacrifice, l’amour divin, l’homme construit son corps de gloire, il l’amplifie dans la lumière et la beauté, et c’est justement grâce à ce corps de gloire qu’il ressuscite et devient immortel.
C’est ainsi qu’il faut comprendre la résurrection de Jésus. Jésus qui possédait toutes ces connaissances a pu nourrir tellement divinement ces deux germes du corps éthérique et du corps bouddhique avec des pensées et des désirs toujours tellement lumineux et purs (on le voit dans ses paroles, dans sa vie), qu’il est arrivé à former ce corps de gloire.

Et quand il est ressuscité, ce n’est pas avec son corps physique, car son corps physique était déjà mort. Il est sorti du tombeau avec son corps éthérique et son corps bouddhique. C’est pourquoi il a dit à Marie de Magdala : « Ne me touche pas ! » Il ne pouvait pas se laisser toucher avant d’avoir rendu son corps plus solide, plus matériel.
Donc, vous voyez, maintenant tout s’explique. Jésus n’est pas ressuscité avec son corps physique, non, il est apparu avec son corps éthérique, son corps de la gloire, il a mangé avec ses disciples, puis il est parti… Mais il continue encore à vivre avec son corps de gloire, il n’a pas quitté la terre. »

"L'apparition du Christ à Marie de Magdala après la résurrection" - Alexander Ivanov (1835)
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« Le corps bouddhique est le corps de l’amour désintéressé, de la béatitude absolue, de la pureté absolue. Le Christ, Bouddha, ont été des exemples parfaits de l’amour, du sacrifice, de la pureté. C’est pourquoi le disciple instruit dans cette science doit chercher à avoir les sentiments et les désirs les plus désintéressés, les plus purs pour pouvoir nourrir son corps éthérique et son corps bouddhique. Avec le travail désintéressé, le sacrifice, l’amour divin, l’homme construit son corps de gloire, il l’amplifie dans la lumière et la beauté, et c’est justement grâce à ce corps de gloire qu’il ressuscite et devient immortel.

C’est ainsi qu’il faut comprendre la résurrection de Jésus. Jésus qui possédait toutes ces connaissances a pu nourrir tellement divinement ces deux germes du corps éthérique et du corps bouddhique avec des pensées et des désirs toujours tellement lumineux et purs (on le voit dans ses paroles, dans sa vie), qu’il est arrivé à former ce corps de gloire.

Et quand il est ressuscité, ce n’est pas avec son corps physique, car son corps physique était déjà mort. Il est sorti du tombeau avec son corps éthérique et son corps bouddhique. C’est pourquoi il a dit à Marie de Magdala : « Ne me touche pas ! » Il ne pouvait pas se laisser toucher avant d’avoir rendu son corps plus solide, plus matériel.
Donc, vous voyez, maintenant tout s’explique. Jésus n’est pas ressuscité avec son corps physique, non, il est apparu avec son corps éthérique, son corps de la gloire, il a mangé avec ses disciples, puis il est parti… Mais il continue encore à vivre avec son corps de gloire, il n’a pas quitté la terre. »

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