Laisser les morts vivre en paix

Ne jamais chercher à les ramener vers la terre.

"Poème de l'âme (16) : Le Vol de l’âme" - Louis Janmot (1854)
(cliquer pour zoomer)

« Les âmes descendent sur la terre, puis s’en vont pour revenir un jour. Mais en réalité ce ne sont pas toujours les mêmes âmes qui reviennent s’incarner. Il peut arriver que tout au long des millénaires, certaines reviennent souvent, mais ce n’est pas obligatoire. Parce que la terre n’est pas le seul endroit où les créatures ont la possibilité d’apprendre pour évoluer. Partout dans l’univers il y a des « terres » où elles ont des conditions pour s’instruire et travailler.

Alors, de la même façon que des êtres viennent d’autres planètes pour accomplir certaines missions sur notre terre et repartent après les avoir accomplies, d’autres la quittent pour aller vivre un temps ailleurs.

Les Seigneurs des destinées, les Vingt-quatre Vieillards, ces hautes entités qui habitent dans la séphira Binah, président à cette circulation des créatures.

Mais dès l’instant où un homme meurt, les portes de la terre se ferment derrière lui, il se trouve emporté par un nouveau courant et il n’a pas le droit de retourner en arrière. C’est pourquoi il n’est pas bon de chercher à faire revenir les morts pour leur parler, les interroger : on les dérange, on les empêche de poursuivre leur évolution. Il faut prier pour eux, leur envoyer de la lumière pour qu’ils se libèrent, mais ne jamais chercher à les ramener vers la terre. »

"Poème de l'âme (16) : Le Vol de l’âme" - Louis Janmot (1854)
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« Les âmes descendent sur la terre, puis s’en vont pour revenir un jour. Mais en réalité ce ne sont pas toujours les mêmes âmes qui reviennent s’incarner. Il peut arriver que tout au long des millénaires, certaines reviennent souvent, mais ce n’est pas obligatoire. Parce que la terre n’est pas le seul endroit où les créatures ont la possibilité d’apprendre pour évoluer. Partout dans l’univers il y a des « terres » où elles ont des conditions pour s’instruire et travailler. Alors, de la même façon que des êtres viennent d’autres planètes pour accomplir certaines missions sur notre terre et repartent après les avoir accomplies, d’autres la quittent pour aller vivre un temps ailleurs.

Les Seigneurs des destinées, les Vingt-quatre Vieillards, ces hautes entités qui habitent dans la séphira Binah, président à cette circulation des créatures.

Mais dès l’instant où un homme meurt, les portes de la terre se ferment derrière lui, il se trouve emporté par un nouveau courant et il n’a pas le droit de retourner en arrière. C’est pourquoi il n’est pas bon de chercher à faire revenir les morts pour leur parler, les interroger : on les dérange, on les empêche de poursuivre leur évolution. Il faut prier pour eux, leur envoyer de la lumière pour qu’ils se libèrent, mais ne jamais chercher à les ramener vers la terre. »

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