Le parfum de la nouvelle Ève

La femme est une fleur qui émane des essences qui peuvent embaumer l’atmosphère

"Parfum de fleurs"
Illustration numérique générée et composée
© Editions Prosveta S.A.
(cliquer pour zoomer)

« Les Initiés ont compris que la femme est un laboratoire, une fleur qui sécrète des essences qui peuvent embaumer l’atmosphère, et que si on pouvait apprendre à certaines femmes à émaner ces essences pures, elles deviendraient des conductrices de la Mère divine. Il y a eu des femmes dans le passé – ce sont des cas rapportés par l’histoire – qui dégageaient des parfums de fleurs : la violette, le jasmin, la rose…

Et d’ailleurs, pourquoi croyez-vous que la plupart des femmes aiment se parfumer ? Cela vient d’un passé très lointain, quand, dans le Paradis, le Seigneur avait confié à Ève le soin de la végétation. Ève a été la première botaniste, elle s’occupait des arbres, des fleurs ; tandis qu’Adam était le premier zoologue, il s’occupait des animaux. Donc, Ève s’occupait tellement de ses fleurs qu’elle émanait les mêmes parfums, elle était elle-même devenue une fleur. Mais après le premier péché, quand Adam et Ève ont été chassés du Paradis, Ève a perdu cette faculté d’émaner des parfums, et comme cela lui manquait, elle a commencé à chercher des parfums à l’extérieur, dans les plantes.

Avant la chute, ces parfums émanaient d’elle, parce qu’elle possédait des qualités, des vertus qui se manifestent justement dans le plan physique sous la forme de parfums. Chaque parfum est une vertu en haut qui devient un parfum en bas : de même qu’un vice en haut devient une odeur nauséabonde en bas. En se parfumant, les femmes veulent donc retrouver le parfum naturel qu’elles ont perdu, mais ce n’est pas la meilleure méthode. Qu’elles se parfument, qu’elles se maquillent, qu’elles fréquentent les instituts de beauté, c’est bien, mais si on pouvait leur apprendre à développer certaines qualités et vertus, elles retrouveraient ces parfums, elles retrouveraient leur beauté. Donc ne comptez pas sur les instituts de beauté ; il y a un institut de beauté ici où vous ne dépenserez pas des sommes fantastiques pour des soins qui durent seulement vingt-quatre heures et qui flétrissent votre peau. Oui, mais à condition que vous me croyiez et que vous appeliez ces qualités, ces vertus, ces forces pour qu’elles entrent en vous et s’y épanouissent. Voilà le véritable institut de beauté, où le cherchez-vous ?

Il est dit que c’est par la faute d’Ève que les humains ont été chassés du Paradis. Maintenant, une nouvelle Ève doit apparaître pour réparer ses fautes et faire retourner l’homme au Paradis.

Une idée peut être extraordinaire, mais il faut la matérialiser, sinon elle reste en haut, dans le monde qui est le sien ; et seule la femme a le pouvoir de la rendre visible, tangible. D’ailleurs vous le savez bien, une femme qui n’est jamais allée à l’école, pas même à l’école maternelle, est capable de vous donner un enfant avec des yeux, une bouche, un nez, des oreilles, etc., parfaitement formés. Elle ne connaît rien, ni la chimie, ni la physique, ni la politique, ni l’économie, et pourtant tout est économiquement fait : les bras, les jambes, les petites dents qui sortent… Allez maintenant comprendre ce qu’est une femme ! Où est en elle cette intelligence qui sait combiner et doser tous les éléments chimiques ? Elle ne sait peut-être pas faire une opération, mais elle réussit ce dont aucun mathématicien n’est capable !… »

"Adam et Eve après la chute"
Peinture numérique générée et composée
© Editions Prosveta S.A.
(cliquer pour zoomer)

"Parfum de fleurs"
Illustration numérique générée et composée © Editions Prosveta S.A.
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« Les Initiés ont compris que la femme est un laboratoire, une fleur qui sécrète des essences qui peuvent embaumer l’atmosphère, et que si on pouvait apprendre à certaines femmes à émaner ces essences pures, elles deviendraient des conductrices de la Mère divine. Il y a eu des femmes dans le passé – ce sont des cas rapportés par l’histoire – qui dégageaient des parfums de fleurs : la violette, le jasmin, la rose…

Et d’ailleurs, pourquoi croyez-vous que la plupart des femmes aiment se parfumer ?

 Cela vient d’un passé très lointain, quand, dans le Paradis, le Seigneur avait confié à Ève le soin de la végétation. Ève a été la première botaniste, elle s’occupait des arbres, des fleurs ; tandis qu’Adam était le premier zoologue, il s’occupait des animaux. Donc, Ève s’occupait tellement de ses fleurs qu’elle émanait les mêmes parfums, elle était elle-même devenue une fleur. Mais après le premier péché, quand Adam et Ève ont été chassés du Paradis, Ève a perdu cette faculté d’émaner des parfums, et comme cela lui manquait, elle a commencé à chercher des parfums à l’extérieur, dans les plantes

Avant la chute, ces parfums émanaient d’elle, parce qu’elle possédait des qualités, des vertus qui se manifestent justement dans le plan physique sous la forme de parfums. Chaque parfum est une vertu en haut qui devient un parfum en bas : de même qu’un vice en haut devient une odeur nauséabonde en bas. En se parfumant, les femmes veulent donc retrouver le parfum naturel qu’elles ont perdu, mais ce n’est pas la meilleure méthode. Qu’elles se parfument, qu’elles se maquillent, qu’elles fréquentent les instituts de beauté, c’est bien, mais si on pouvait leur apprendre à développer certaines qualités et vertus, elles retrouveraient ces parfums, elles retrouveraient leur beauté. Donc ne comptez pas sur les instituts de beauté ; il y a un institut de beauté ici où vous ne dépenserez pas des sommes fantastiques pour des soins qui durent seulement vingt-quatre heures et qui flétrissent votre peau. Oui, mais à condition que vous me croyiez et que vous appeliez ces qualités, ces vertus, ces forces pour qu’elles entrent en vous et s’y épanouissent. Voilà le véritable institut de beauté, où le cherchez-vous ?

"Adam et Eve après la chute"
Peinture numérique générée et composée © Editions Prosveta S.A.
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Il est dit que c’est par la faute d’Ève que les humains ont été chassés du Paradis. Maintenant, une nouvelle Ève doit apparaître pour réparer ses fautes et faire retourner l’homme au Paradis.

Une idée peut être extraordinaire, mais il faut la matérialiser, sinon elle reste en haut, dans le monde qui est le sien ; et seule la femme a le pouvoir de la rendre visible, tangible. D’ailleurs vous le savez bien, une femme qui n’est jamais allée à l’école, pas même à l’école maternelle, est capable de vous donner un enfant avec des yeux, une bouche, un nez, des oreilles, etc., parfaitement formés. Elle ne connaît rien, ni la chimie, ni la physique, ni la politique, ni l’économie, et pourtant tout est économiquement fait : les bras, les jambes, les petites dents qui sortent… Allez maintenant comprendre ce qu’est une femme ! Où est en elle cette intelligence qui sait combiner et doser tous les éléments chimiques ? Elle ne sait peut-être pas faire une opération, mais elle réussit ce dont aucun mathématicien n’est capable !… »

Texte extrait de l'ouvrage "L’amour et la sexualité (2)", chap. VII "Les Vestales • La nouvelle Ève".

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