S’enrichir pour donner
Capitalisme et communisme sont tous les deux nécessaires
« Le monde entier est globalement divisé en deux : d’un côté, les capitalistes, et de l’autre, les communistes. En réalité, le capitalisme et le communisme ne représentent pas seulement deux façons différentes de concevoir la production et la répartition des richesses matérielles ; ce sont deux notions beaucoup plus vastes.
La nature a donné des capitaux à l’homme : ses bras, ses jambes, ses yeux, ses oreilles, son sexe, son cerveau sont des capitaux avec lesquels il doit travailler pour acquérir des richesses qu’il pourra ensuite distribuer. Le capitalisme doit être seulement un moyen, et l’erreur des capitalistes justement est d’en avoir fait un but. Donc les capitalistes n’ont rien compris… Et les communistes non plus d’ailleurs. S’ils parlent tellement contre les capitalistes, s’ils les combattent, c’est souvent parce qu’ils voudraient être aussi riches et puissants qu’eux.
Moi, je crois au communisme. Pourquoi ? Parce que Jésus était communiste, mais un communiste blanc, pas un communiste rouge.
Lorsqu’on fait de la richesse un but, un idéal, il s’ensuit toutes sortes d’inconvénients qu’on n’avait pas prévus. Et si l’on est communiste sans discernement, ce sont d’autres imprévus qui surviennent et qui sont tout aussi préjudiciables.
Il faut que les communistes et les capitalistes se comprennent pour aider l’humanité. Les uns et les autres sont nécessaires puisque ces deux courants du capitalisme et du communisme travaillent simultanément dans l’univers. Pourquoi les humains en font-ils un facteur de division alors que l’équilibre de l’univers repose sur ces deux courants ? Tout garder pour soi, c’est une philosophie ; et tout donner aux autres, c’est une autre philosophie. Mais aucune des deux n’est la bonne et il y a une troisième solution. Les capitalistes et les communistes doivent donner tout ce qu’ils possèdent, c’est-à-dire leurs idées, leurs pensées, leur travail à un troisième principe, un principe qui est divin.
Le capitalisme et le communisme sont tous les deux nécessaires, indispensables, c’est la nature elle-même qui a sanctionné ces deux tendances. L’enfant, qui prend, est un capitaliste, et le vieillard, qui distribue tout avant de s’en aller de l’autre côté, est un vrai communiste : il n’a rien gardé pour lui. Entre les deux se trouvent toutes sortes de gens qui n’appartiennent vraiment à aucune des deux catégories : des capitalistes qui n’en sont pas et des communistes qui n’en sont pas non plus. L’idéal, c’est d’être à la fois capitaliste et communiste, c’est-à-dire recevoir, gagner, absorber toutes les splendeurs du Ciel et les distribuer ensuite aux humains. Donc, être capitaliste vis-à-vis du Ciel pour recevoir et communiste vis-à-vis de la terre pour distribuer. Alors, là on est parfait.
Regardez l’arbre : il est capitaliste et en même temps communiste, parce qu’il garde ses racines, son tronc, ses branches, mais il distribue ses fruits. C’est ainsi que la nature a conçu les choses. Un Initié qui a compris la leçon de la nature fait exactement comme l’arbre : il garde ses racines, son tronc, ses branches, mais il distribue ses fruits, c’est-à-dire ses pensées, ses sentiments, ses paroles, sa lumière, sa force et son argent. Seul l’Initié est un vrai capitaliste et un vrai communiste. »
« Le monde entier est globalement divisé en deux : d’un côté, les capitalistes, et de l’autre, les communistes. En réalité, le capitalisme et le communisme ne représentent pas seulement deux façons différentes de concevoir la production et la répartition des richesses matérielles ; ce sont deux notions beaucoup plus vastes.
La nature a donné des capitaux à l’homme : ses bras, ses jambes, ses yeux, ses oreilles, son sexe, son cerveau sont des capitaux avec lesquels il doit travailler pour acquérir des richesses qu’il pourra ensuite distribuer. Le capitalisme doit être seulement un moyen, et l’erreur des capitalistes justement est d’en avoir fait un but. Donc les capitalistes n’ont rien compris… Et les communistes non plus d’ailleurs. S’ils parlent tellement contre les capitalistes, s’ils les combattent, c’est souvent parce qu’ils voudraient être aussi riches et puissants qu’eux.
Moi, je crois au communisme. Pourquoi ? Parce que Jésus était communiste, mais un communiste blanc, pas un communiste rouge.
Lorsqu’on fait de la richesse un but, un idéal, il s’ensuit toutes sortes d’inconvénients qu’on n’avait pas prévus. Et si l’on est communiste sans discernement, ce sont d’autres imprévus qui surviennent et qui sont tout aussi préjudiciables.
Il faut que les communistes et les capitalistes se comprennent pour aider l’humanité. Les uns et les autres sont nécessaires puisque ces deux courants du capitalisme et du communisme travaillent simultanément dans l’univers. Pourquoi les humains en font-ils un facteur de division alors que l’équilibre de l’univers repose sur ces deux courants ? Tout garder pour soi, c’est une philosophie ; et tout donner aux autres, c’est une autre philosophie. Mais aucune des deux n’est la bonne et il y a une troisième solution. Les capitalistes et les communistes doivent donner tout ce qu’ils possèdent, c’est-à-dire leurs idées, leurs pensées, leur travail à un troisième principe, un principe qui est divin.
Le capitalisme et le communisme sont tous les deux nécessaires, indispensables, c’est la nature elle-même qui a sanctionné ces deux tendances. L’enfant, qui prend, est un capitaliste, et le vieillard, qui distribue tout avant de s’en aller de l’autre côté, est un vrai communiste : il n’a rien gardé pour lui. Entre les deux se trouvent toutes sortes de gens qui n’appartiennent vraiment à aucune des deux catégories : des capitalistes qui n’en sont pas et des communistes qui n’en sont pas non plus.
L’idéal, c’est d’être à la fois capitaliste et communiste, c’est-à-dire recevoir, gagner, absorber toutes les splendeurs du Ciel et les distribuer ensuite aux humains. Donc, être capitaliste vis-à-vis du Ciel pour recevoir et communiste vis-à-vis de la terre pour distribuer. Alors, là on est parfait.
Regardez l’arbre : il est capitaliste et en même temps communiste, parce qu’il garde ses racines, son tronc, ses branches, mais il distribue ses fruits. C’est ainsi que la nature a conçu les choses. Un Initié qui a compris la leçon de la nature fait exactement comme l’arbre : il garde ses racines, son tronc, ses branches, mais il distribue ses fruits, c’est-à-dire ses pensées, ses sentiments, ses paroles, sa lumière, sa force et son argent. Seul l’Initié est un vrai capitaliste et un vrai communiste. »
Texte extrait de l'ouvrage "Le Verseau et l'avènement de l'âge d'or (1)", chap. IV "Communisme et capitalisme".